Voici des expériences vécues par certains de nos clients, qui témoignent de la compassion et de la sollicitude de la Popote roulante.
Phyllis
Karen, fille de Phyllis, aime bien que la Popote roulante soit «plus qu’un simple repas». Non seulement sa mère a pu continuer à vivre chez elle grâce aux repas nutritifs qui lui étaient livrés quand elle était en bonne santé, mais Karen était rassurée de savoir qu’il y avait quelqu’un d’autre pour s’occuper de sa mère. Karen vit à une heure d’Ottawa; elle ne pouvait donc rendre visite à sa mère tous les jours.
Mme F.
Mme F. a commencé à faire appel à la Popote roulante après avoir attrapé un virus qui a attaqué ses articulations, la laissant incapable de se nourrir ou de marcher sans aide. Elle ne peut se servir de sa main droite, et a un usage partiel de sa main gauche. Comme elle doit utiliser constamment de l’oxygène, elle ne peut se trouver à proximité d’une cuisinière. Elle vit seule; son fils, qui lui rend visite le soir, a constaté que les repas chauds qui lui sont livrés représentent pour elle un service précieux qu’elle attend avec gratitude tous les jours.
Mme K & M. K.
Les K., un couple d’octogénaires, touchent tous les deux des prestations d’invalidité. Mme K. éprouve des problèmes cardiaques. La Popote roulante lui évite d’aller à l’épicerie et d’avoir à planifier les repas. De plus, la liberté de disposer d’aliments préparés les soulage de «beaucoup de stress». Ils affirment que les repas savoureux, rapides et nourrissants qui leur sont servis ont changé leur vie du tout au tout et les ont aidés à conserver leur autonomie à la maison. Ils recommandent le service avec enthousiasme à leurs amis.
À l'automne 1968, le Island Lodge (devenu le Centre Garry J. Armstrong) offrait de fournir 24 repas par jour et se distingue aujourd'hui comme étant le fournisseur de repas de plus longue date.